Le 16 juin dernier, tu nous as quittés sans prévenir.
Voisin, motard, mais avant tout ami, tu rappelles à chacun de nous, par ce tragique accident, que la route peut nous enlever ceux qu’on aime.
Espérant que les pensées que nous auront pour toi, plus particulièrement le 4 juillet, ne te perturberont pas trop dans ta cuisine céleste.
En attendant, elles se tournent vers ta femme, tes enfants et ta famille.
Au revoir Patrice.
«La chance ne donne pas, elle ne fait que prêter.»